• Chapitre 3 - Fan Fiction

    Oh non... C'était ce type avec qui j'avais dansé a la fête...

    - On dirai que vous vous connaissez déjà ! dit monsieur  Muranishi. Le photographe veux que les photos représentent un couple en Automne. 

    Hiroto s'en alla, sans rien dire. Il est vraiment bizarre... Ce n'est pas son genre de s'en aller comme ça...

    - Je me présente, je m'appelle Haruo Tamasha. J'ai 15 ans, et je suis artiste, comme toi. J'ai hâte de commencer les photos ! s'exclama t-il.

    Il avait l'air drôlement impatient de travailler avec moi. J'avais des questions a poser, mais j'hésitai un peu...

    - Heu Haruo... Dis moi heu... Je peux te parler 5 minutes? dis-je précipitemment.

    - Oui, pourquoi ? me demanda-t-il, étonné.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je l'entrainai rapidement dans une pièce vide.

    - Est-ce qu'on se connait ?

    Il me regardai, encore plus étonné.

    - Ben on s'est rencontré hier, tu veux dire quoi par ça...

    - J'ai l'impression de t'avoir connu avant, alors que c'est seulement la deuxième fois qu'on se voit !

    - On va retourner avec les autres. Le photographe va bientôt arriver.

    Sa réponse me parut froide. Comme si ma question l'avait agacé... Je le suivit sans plus rien dire. Monsieur Moncinelli nous salua, puis nous tendit les costumes.

    J'essayai de me changer au plus vite, essayant de ne pas penser a autre chose. Mais je n'y arrivai pas ! Hiroto, il était si bizarre en ce moment... Et si il m'en voulait ? Quand a Haruo, je ne savais pas quoi penser...

    J'enfilai mon costume, car Monsieur Moncinelli m'attendait. C'était un uniforme assez joli, j'avais hâte de voir a quoi j'allai ressembler...

    Je sorti, et aperçu Haruo. Il portait le même style d'uniforme que moi ! Il me sourit, et bêtement, je rougis. Monsieur Moncinelli nous fis venir, pris quelques clichés.

    - Il y a quelque chose qui ne va pas... pensa-t-il a haute voix. Mmmh...

    - Qu'est-ce qui ne va pas ? demandai-je timidement.

    - Kilari, tes cheveux...

    Quoi, mes cheveux ? Il ne sont pas bien coiffés ? Ils ont quoi ? J'était paniquée.

    - Ils sont trop longs, et... Je sais ! Il te faudrait une coupe et une couleur assortie a celle de Haruo !

    - QUOI ? hurlai-je.

    - Viens, il faut te faire une nouvelle coupe.. Si sa ne te dérange pas ! J'éspère que tu n'y tiens pas ! plaisanta Mr Muranishi.

    - Non c'est bon... Vous pouvez me faire n'importe quoi !

    A vrai dire, j'aurai aimer qu'ils n'ai aucuns changements ! Quelques minutes plus tard, je sortais de la pièce. Haruo me regarda avec un grand sourire. Je me regardai dans la glace et fut très surprise...

     

     

    Le photographe se contenta de " parfait " et nous fit reprendre les clichés. C'était super long, et je n'en pouvais plus. Il prenait au moins 100 clichés de la même scéne... 

    - J'en peux plus ! Y'a bientôt une pause ? chuchota Haruo.

    - Je sais pas, désolé ! En tout cas, moi aussi je suis crevée... répondis-je.

    Je regardai dans notre " petit " public, et ne vis pas Hiroto. Il était faché a ce point ? Mais qu'est-ce que j'avais fais...

    - Une scène vous vous faites un câlin ! Allez !

    On executa, et il nous montra le cliché qu'il nommé " Un cliché fabuleux ! "

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    On n'en pouvait plus, on pensait désépèrer quand Moncinelli hurla " PAUSE ! " On se rua dans nos loge. Je pris une grande bouteille d'eau, et bu la bouteille en 5 secondes. J'avais tellement faim... Qu'est-ce que je pouvais bien manger... ? Je sais, des crêpes !!

    - Tu vas où ?

    Je me retournai et vis Haruo.

    - Et toi, tu vas où ?

    - Quelle question ! Je vais acheter des crêpes !

    ***

    On revenait, et on avait déjà mangé la moitié des crêpes. On se dépécha de faire ce qui nous rester a faire, puis on retournai sur le lieu de photographie. On pris toujours autant de clichés, je n'en pouvais vraiment plus cette fois... Je ne sentais plus mes jambes... Je tombais par terre.

    J'avais tellement mal a la tête ! Je regardai mon genoux et vis... que je saignai, je m'était rapée... Je commençai a pleurer... Tout se passait mal!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Quelqu'un me portai, je regardai qui c'était... Haruo. 

    - Ne t'inquiète pas, ça va aller. 

    Je le regardai une deuxième fois, puis m'évanouie.


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